Bien comprendre la greffe capillaire

Aujourd’hui, de nombreuses personnes décident de passer par une greffe capillaire en cas de calvitie ou d’éclaircissement. Il faut dire que c’est une technique peu invasive et qui offre de très bons résultats. Alors pour bien comprendre, voici quelques explications.

En quoi consiste une greffe capillaire ?

Une greffe capillaire permet de combler certaines zones d’éclaircissement au niveau du cuir chevelu, en cas de calvitie, autrement appelée alopécie. La technique la moins invasive est appelée la procédure FUE qui opère sans scalpel. Pour commencer, le praticien procède à une anesthésie locale pour éviter toute sensation désagréable. Ensuite, il viendra prélever les follicules pileux du patient sur des zones très petites et qui n’excéderont pas les 0,9 mm.

Ainsi, c’est une technique qui ne laisse aucune cicatrice contrairement à la technique du FUL, principalement indiquée dans le cas de cheveux longs. Dans ces cas-là, il faudra prélever une bandelette de 10 à 30 cm avant de suturer la zone avec une cicatrice aussi fine que linéaire. Ensuite, les greffons sont réservés avec une solution de sérum physiologique avant d’être réimplantés sur le patient.

Des résultats sur le long terme

Pour réimplanter le greffon, le chirurgien procède à de petites incisions qui prendront un effet naturel lors de la repousse des cheveux. Ensuite, il implante les follicules pileux, un par un  et de manière irrégulière. Généralement, c’est une étape qui se fait en plusieurs séances avec un résultat de 1000 à 5000 cheveux implantés.  

Ainsi, le patient retrouve une chevelure bien garnie et surtout, avec un parfait résultat naturel. Une dizaine de jours plus tard, le crâne retrouve son aspect normal et les cheveux greffés tomberont au bout de 15 jours. Ensuite, ils repoussent facilement avec un effet optimal au bout de 12 mois. Le gros atout de la greffe capillaire, c’est que vous obtiendrez un résultat définitif et sur le long terme. 

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